dimanche 31 décembre 2017

Une belle année 2018 !



"Les arbres t'enseignent des choses
qu'aucun maître ne te dira."

Toute l'équipe d'Altaïr se joint à moi pour vous souhaiter une très belle année 2018 pleine de découvertes et de joie.
Nous commençons l'année avec une exposition de Myrrha au centre d'astrologie , ce qui nous réjouit car ses tableaux sont toujours très inspirants. Nous vous invitons à venir partager avec nous ce magnifique zodiaque de Nephtys accompagné des arbres jaune et bleu et de la source.


"Semez l'amour, récoltez la paix.
Semez la méditation, récoltez la sagesse."
Sivananda


Vous retrouvez les informations utiles sur l'affiche. Vous pouvez bien entendu acquérir ces oeuvres si vous le souhaitez. Durant les périodes d'ouverture au public, vous pourrez également consulter des jeux de cartes, ainsi que des documents et des vidéos sur Myrrha.


Nous vous proposerons ensuite une conférence de Dominique Georges sur l'histoire de naissance. Dominique Georges nous présente son travail :

"Notre histoire commence bien avant notre naissance  voire même de notre conception ! D’où viennent ces attitudes,  ces comportements plus forts que nous ? Saviez-vous que  déjà avant notre naissance, une carte de notre vie est tracée ? 
 Ce n’est pas notre carte mais celle que cette période,  qui entoure notre naissance, a dessiné  au plus profond de nos mémoires. 
 C’est ce qui fait qu’en partie nous agissons de telle ou telle façon, vous savez ce comportement que nous ne supportons pas  mais qui est plus fort que nous et qui nous poursuit !  
 Grâce à la lecture de cette carte nous comprendrons mieux  pourquoi nous, ou nos proches, avons des attitudes qui peuvent  nous déranger mais aussi tous les atouts dont  nous n'avons peut-être pas encore conscience. "

Voici également le mot de l’Editeur de Dominique Georges, Édilivre (dernière parution : avril 2017) à propos de son livre :


" Histoire de naissance :
Mettre en Lumière votre Naissance"

Dominique GEORGES considère que la période entourant
la naissance est cruciale : avant la conception de l'enfant,
pendant la grossesse et après l'accouchement.
Dans le cadre d'ateliers, attentionnée et à l'écoute, elle accueille les
histoires intimes. Ici rassemblés, ces témoignages forment
une série d'anecdotes, allant du sentiment d'abandon
aux relations conflictuelles parents-enfants, en passant
par les naissances prématurées ou la césarienne.
L'ambition de l'ouvrage est de faire prendre conscience de l'importance
de ce moment fondateur dont les répercussions s'échelonnent
tout au long de notre vie. Comprendre les enjeux du jour
qui nous a vu naître constitue la clef permettant de mieux mener
sa vie d'adulte, en harmonie avec soi-même et les autres.
En fin d'ouvrage, un questionnaire permettra au lecteur de se livrer
à une introspection sur l'histoire de sa propre naissance.

Nous accueillerons Dominique Georges pour sa conférence le 1er février au local de centre d'Astrologie à 20h30. Vous pouvez réserver sur notre messagerie : assoc.altair@gmail.com. Tarif : 8 € pour les adhérents et 10 € pour les non adhérents.



Et nous vous proposons le 17 mars 2018 de venir acquérir des livres à l'occasion de notre bourse aux livres. Le samedi de 14h00 à 18h00, nous vous proposerons des livres sur les thèmes de l'astrologie, de la psychologie, de la spiritualité et de l'ésotérisme au tarif de 2 à 5 € .

Nous vous attendons pour ces événements et espérons que vous viendrez nous retrouver pour partager ces expériences !



dimanche 17 décembre 2017

Redéfinir notre monde

Revenons à nouveau sur cette magnifique conférence d'astrologie mondiale de Sylvie Lafuente Sampietro en faisant un retour sur la synthèse de cette conférence.




2018 verra l'émergence d'une nouvelle idéologie qui pourrait nous amener à trouver de nouveaux  repères politiques. Mais le cycle que font Uranus et Neptune dure 172 ans : nous n'en sommes qu'au tout début (il a démarré en 1993) et cette nouvelle vision prendra du temps à s'installer.
Ce sera aussi le moment de lâcher prise aux anciens projets pour pouvoir retrouver le cœur de ce qui nous anime. Et si nous voulons redémarrer correctement, il faut vraiment accepter que certaines choses ne sont plus d'actualité ( cycle Saturne/Jupiter).
Cette année nous proposera aussi de porter des projets empreints de compassion ( cycle Jupiter/Neptune).
Et nous sommes à la recherche de solutions sur un cycle qui nous parlait de l'amplification des pouvoirs profonds (cycle Jupiter/Pluton) : comment intégrer la colère et la haine ?

Nous sommes donc sur une émergence (avec des aspects croissants) d'une nouvelle société. Cela nous pousse vers le futur avec la nécessité de lâcher les choses du passé.




A propos de la naissance d'une nouvelle vision du monde, Bruno Latour, cité  par Sylvie Lafuente Sampietro, apporte un éclairage très intéressant.
Il fait l'hypothèse de Gaïa selon laquelle la terre est un écosystème autorégulé et si elle est trop perturbée par l'homme, elle risque de nous faire disparaitre. Cet écosystème pourrait se retourner contre nous. Nous devons considérer que nous ne sommes pas tout puissants et que nous sommes en danger sur cette terre.
Il nous parle également dans une interview à Telerama de la "nouvelle Terre, une terre peuplée d'êtres naturels innombrables qui compliquent souvent les attitudes des humains ! Il est d'ailleurs impressionnant de voir le nombre de best-sellers qui portent sur ces êtres méconnus et proches de nous : le microbiote (Le charme discret de l'intestin), les arbres (La vie secrète des arbres), ou encore les microbes (Jamais seul)... Il y a quelques années, on aurait accusé leurs auteurs de vouloir diminuer notre libre arbitre. Alors que là, on dit : "C'est formidable, je suis entouré de tous ces microbes, de tous ces arbres qui communiquent !". C'est complètement nouveau. "
"Une autre des caractéristiques de cette Terre est qu'elle est minuscule ! Tout ce qui nous concerne réside dans une mince pellicule , un vernis,  une peau que les scientifiques ont baptisée "zone critique" et qui va des sols à la basse atmosphère. C'est là que se concentre toute la vie terrestre, et cette Terre-là a des propriétés, une complexité ahurissantes_les gaz, les roches, l'eau, les êtres vivants y sont en interaction permanente_qu'on connait encore très mal, et qu'on ne sait pas modéliser. Bref, cette Terre n'a plus rien à voir avec celle de la cartographie à la Magellan.
"Ca n'arrive pas si souvent, l'irruption d'une Terre avec des définitions nouvelles ! A tous ceux qui voient l'écologie comme une régression ou le ressassement en boucle de la catastrophe, je dis : mais regardez le rythme des découvertes, nous vivons une nouvelle époque de grandes découvertes, comme au XVIe siècle."
Cet article pose les bases d'une nouvelle façon de penser la Terre et de la partager. Bruno Latour est un de ces penseurs qui nous incitent à voir le monde autrement.




Pour terminer, une belle citation de Teillard de Chardin, que Sylvie Lafuente Sampietro nous a livrée, ce vendredi soir de conférence :

"Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine."




Il est possible pour ceux et celles qui le souhaitent de réécouter cette conférence en louant un CD à l'association. Cette conférence était en effet très riche et mérite d'être écoutée ou réécoutée.

dimanche 10 décembre 2017

Le passé et l'avenir

Pluton
Nous avions rendez-vous vendredi soir avec le ciel de l'année 2018. Quels sont les défis qui nous attendent ? Comment pouvons-nous, en éclairant les événements passés, avoir une meilleure compréhension de ce qui nous sera proposé tout au long de l'année ?
Si nous sommes conscients des courants qui traversent le grand océan de l'inconscient collectif, nous pourrons mieux nous laisser porter et surfer sur les vagues.


Neptune
Sylvie Lafuente Sampietro nous a donc proposé, à partir de la carte du ciel de l'année 2018, de commencer par regarder ce que nous disent les planètes de l'évolution collective. Ces planètes ont des cycles longs, jusqu'à 248 ans pour faire le tour du zodiaque, pour Pluton.
Chacune de ces planètes, Pluton, Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter va se trouver au cours de l'année dans un (ou deux) signes du zodiaque. Chacune donnera donc une couleur particulière à la fonction qu'elle représente pour l'humanité.


Uranus
Puis nous avons regardé les cycles que forment ces planètes entre elles. Deux planètes se retrouvent à un moment donné ensemble dans le ciel vu de la terre , c'est ce que nous appelons  la conjonction. Puis elles avancent chacune à leur rythme pour finir par se retrouver à nouveau ensemble. Le cycle des deux planètes dans le ciel, comme tout cycle de notre vie, va passer par différents stades mais ce qui nous intéresse ici, c'est le début  et la fin du cycle. Au début du cycle, tout est possible, nous n'y voyons pas clair sur ce que nous proposera ce cycle. C'est donc le moment de commencer à construire l'avenir, sans savoir souvent vers où nous allons et ce n'est pas facile, il faut oser. Et c'est là que l'étude des cycles précédents peut nous aider car elle nous permet de comprendre comment nous avons géré auparavant ce qui se présentait devant nous. Nous pouvons ainsi comprendre les enjeux, éliminer un certain nombre de craintes, et éviter des erreurs commises aux cycles précédents. Le cycle de Neptune et Uranus, étudié pendant la conférence, est à ce stade du début où nous devons construire l'avenir.


Saturne
Et lorsque nous arrivons à la fin du cycle, lorsque nous avons déroulé tout le processus, et qu'un nouveau cycle va bientôt démarrer, nous avons à tirer la quintessence de ce que nous a appris ce cycle qui se termine mais aussi à lâcher le passé sur tout ce processus qui s'est déroulé et qui s'achève.
L'autre cycle étudié au cours de la conférence était à ce stade de fin ( cycle de Saturne et Jupiter). Il est question dans ce moment de lâcher prise au passé pour revenir à l'essentiel sans savoir une fois encore vers quoi nous allons. Là aussi, l'étude des cycles précédents peut nous permettre d'y voir plus clair.
Le titre de la conférence : "Lâcher pris au passé pour construire l'avenir" est donc bien le défi de l'année. Mais avec une grande incertitude sur ce qui se prépare et les cycles à venir. Il nous faudra donc faire preuve d'imagination.
"La logique nous mène de a vers b, l'imagination nous mène partout" disait Einstein".


Jupiter
La semaine prochaine, je reviendrai sur quelques-uns des défis qui nous attendent.

dimanche 3 décembre 2017

S'élever

Hubert Reeves était invité à l'émission "La grande librairie" cette semaine.
Son livre récent : "Le banc du temps qui passe. Méditations cosmiques" est un recueil de pensées sur le monde et l'univers que l'on peut lire en picorant deci-delà, au gré de sa fantaisie. C'est ce que j'ai fait et je suis tombée sur un article intitulé : "L'awe cosmique" qui m'a interpellée. 
Ce mot awe ne m'est pas familier. D'après Hubert Reeves, il d'agit en quelque sorte d'une sidération, de ce qui inspire émerveillement, révérence et terreur latente. Il le traduit aussi par ce qui peut engendrer de la vénération.




Il illustre son propos sur cet awe par trois citations que je restitue ici car elles nous parlent mieux que toute considération :
Sur le spectacle de l'univers, il cite Albert Einstein :
"Le plus beau sentiment du monde, c'est le sens du mystère. Celui qui n'a jamais connu cette joie, ses yeux sont fermés. J'éprouve l'émotion la plus forte devant le mystère de la vie."




Sur le chemin de la mystique vers lequel souvent nous mènent les expériences de l'awe, il cite Jeanne Ancelet-Hustache :
"La mystique est le désir mystérieux, éprouvé comme sacré, antérieur à toute justification rationnelle, parfois inconscient, mais profond et incoercible, de l'âme qui s'efforce d'entrer en contact avec ce qu'elle tient pour absolu, généralement son dieu, mais parfois aussi un être plus vague ; l'être en soi, le Grand Tout, la Nature, l’Âme du monde."
Quelle belle définition ! Il nous entraîne aussi dans l'univers de Goethe et c'est encore l'émerveillement :
"Il n'est personne au monde qui ne se sente ému d'un sentiment profond, quand, au-dessus de nous, perdue dans l'azur des cieux, l'alouette fait entendre sa chanson matinale; quand, au-delà des rocs couverts de sapins, l'aigle plane, les ailes immobiles, et qu'au-dessus des mers, au-dessus des plaines, la grue dirige son vol vers les lieux de sa naissance."




L'expérience de l'émerveillement devant la beauté du monde, devant les mystères de la vie nous arrive simplement en regardant par la fenêtre, en levant les yeux ou en les tournant vers la nature. Il n'est pas si difficile de réenchanter le monde !

dimanche 26 novembre 2017

Relié au monde




Dans cette histoire, racontée par Alexandro Jodorowski, il est question de richesse, la richesse qui nous vient de l'univers :

L'eau du Gange

"Maître, dit un disciple, tu enseignes que Dieu est à l'intérieur de chacun, mais comment la divinité qui est si vaste pourrait-elle être contenue en nous ?
_ Va jusqu'au Gange et ramène-moi un litre d'eau", répondit le maître au disciple.
Lorsque l'eau fut apportée, le maître s'étonna : 
" Mais ceci n'est pas l'eau du Gange ?!..."
_ Bien sûr que si, je l'ai puisée moi-même dans le fleuve !  s'exclama le disciple.
_ Mais où sont les tortues, les poissons, les gens qui s'y baignent, les bateaux, les cadavres qu'il charrie et les moines qui y font leurs ablutions ? Je ne vois rien de tout cela. Ceci ne peut être l'eau en question. Cours la rejeter dans le Gange !"
Au retour du disciple, le maître dit alors : 
"A présent, ton litre d'eau, mélangé à l'eau du fleuve contient des tortues, des poissons et tout ce qui lui manquait auparavant. C'est de l'eau du Gange."

Alexandro Jodorowsky poursuit :
"Nous sommes riches, infiniment riches, mais à un  certain niveau de conscience, nous ne voyons que le litre d'eau et non l'immensité du fleuve. Lorsque nous sommes reliés à l'immensité, nous sommes riches de tout ce qu'elle contient.
Relié, uni au monde, je marche avec lui. J'ai la force. Je possède tout. Séparé du monde, je n'ai rien."




Neptune, en astrologie,  nous apprend aussi cela. Pour nous montrer que nous ne sommes rien si nous ne sommes pas reliés à l'univers, il nous met dans le brouillard, il nous envoie des expériences très fortes, il nous met dans un chaos. Et nous qui n'avions pas "vu" tout ce que contenait le litre d'eau du Gange, nous pouvons atteindre à cette compréhension de la dissolution de notre ego avec les expériences qu'il nous propose. Mais en sortant de la brume où il nous a plongé, cet idéal de communion devra se frotter à la réalité pour continuer à vivre dans le monde. Nous pourrons alors laisser tomber les défenses de notre moi pour aller vers plus de sensibilité, pour comprendre que nous sommes unifiés au monde et que nous sommes beaucoup plus vastes et riches que ce que nous croyons.



dimanche 19 novembre 2017

Le monde en 2018

Le 8 décembre, nous avons rendez-vous comme chaque mois de décembre avec l'année qui vient. Sylvie Lafuente Sampietro nous propose en effet sa conférence d'astrologie mondiale pour l'année 2018.
C'est un moment fort pour notre association, pour toute l'équipe qui organise cet événement. C'est en effet l'occasion de se poser  et de s'extraire de l'actualité du monde qui chaque jour nous envahit, sans nous laisser le temps le plus souvent d'y mettre du sens.
Nous avons la possibilité le 8 décembre de mettre du sens, de retrouver un ordre des choses, et grâce aux cycles qu'étudie l'astrologie mondiale, de saisir les enjeux et les défis du monde actuel.
L'étude exhaustive de tous les mouvements qui nous concernent serait impossible dans le temps de la conférence, donc quelques-uns d'entre eux seulement  seront étudiés de plus près, mais cet éclairage nous donnera à la fois une vision de l'évolution du monde, de notre univers plus proche : l'Europe, la France, mais aussi des sociétés dans lesquelles nous travaillons. Nous pourrons également mesurer quelques-uns des défis qui nous attendent personnellement dans nos vies. Voici donc une belle occasion de réfléchir à notre présence dans le monde et de ressentir son évolution actuelle. D'autant que le titre de la conférence nous demande de "lâcher prise au passé pour construire l'avenir": ce titre est porteur d'espoir mais peut être une source d'angoisse si nous ne savons pas vers quel monde nous nous dirigeons. La conférence devrait répondre à certaines de ces angoisses en  posant des jalons pour l'année qui vient.


Voici la présentation de la conférence proposée par Sylvie Lafuente Sampietro :
"Cette conférence a pour objectif de vous permettre de mieux comprendre la mutation du monde et de nos sociétés à travers une prise de recul sur l’actualité et une compréhension des cycles que l’humanité vit. Elle est un apport personnel pour la gestion de votre année 2018, elle vous donnera des clefs pour saisir ce qui se passe dans votre vie et une prise de conscience des cycles qui sont à l’oeuvre. 
Comment lâcher le passé et s’ouvrir au présent ? A quels éléments devons-nous lâcher prise ? Comment organiser le nouveau monde qui émerge ?  Que nous faut-il saisir pour vivre au mieux les mutations en cours ?
En 2018, nous verrons éclore le fruit d’une gestation qui a lieu depuis 1993 (conjonction Neptune/Uranus). Il s’agit d’une vision politique, peut-être encore de l’ordre de l’utopie, mais qui pourrait nous amener à trouver un nouveau paradigme pour unifier l’idéal communautaire et la liberté individuelle, la collectivité et la créativité, le sentiment de communion et la vision du libre penseur. Ce temps du semicarré croissant d’Uranus à Neptune permet une émergence, il s’agit pour chacun d’oser aller de l’avant sans certitude et de se laisser explorer de nouveaux chemins. Cette poussée peut créer des tensions, des peurs et des conflits si nous restons figés dans les solutions du passé. Le semicarré décroissant de Jupiter à Saturne nous demande de lâcher prise par rapport à d’anciennes constructions d’ordre social ou personnel. Saturne en Capricorne et Uranus qui passe en Taureau, nous pousseront vers des solutions pragmatiques et concrètes. Il s’agit de structurer pas à pas le changement. Venez découvrir les enjeux de cette année 2018 pour pouvoir gérer vos décisions de vie en accord avec le rythme du cosmos."




Carte des transits des planètes au 1er janvier 2018


Nous vous proposons donc de venir nous rejoindre le 8 décembre à 20h30, à la maison du tourisme de Grenoble. Vous pouvez réserver votre place par mail : assoc.altair@gmail.com

dimanche 12 novembre 2017

Désir de liberté



"Ah ! Tournesol, lassé du temps,
Toi qui comptes les pas du soleil;
En quête de ce doux climat doré
Où s'achève le périple du voyageur;
Où le jeune homme dépérissant de désir,
Et la vierge pâle enlinceulée de neige,
Se lèvent de leur tombe et aspirent
Vers où mon Tournesol souhaite aller !"
William Blake (Les champs d'expérience)




William Blake considérait que la conception propre à la rationalité mécanique qui s'imposait à la fin du XVIII e siècle, avec le tournant de l'industrialisation, "en réduisant l'univers et les hommes à un ensemble de rouages, nous mutilait gravement. L'arbre qui nous apprend la droiture, la rivière qui parcourt le pays, l'abeille qui anime l'univers, l'oiseau qui ouvre le ciel, ne sont plus désormais porteurs d'aucune présence, d'aucun sens. Ils ne sont que des ressources que l'on peut exploiter. Le monde serait mort, nous disent les prêtres de cette nouvelle religion. Est-ce acceptable ?"
"La poésie vise à nous faire entendre une autre langue, une langue qui ne nous apprend pas à tout contrôler, mais à nous ouvrir au mystère du réel. Elle nous enseigne ainsi qu'un être humain n'est pas "une ressource", qu'un infirmier qui soigne ceux qui souffrent n'est pas "un agent", que des élèves ne sont pas "un public".
Telle est la leçon du tournesol. Son désir d'atteindre quelque chose de plus haut, de sortir de sa condition, de s'élever est aussi celui de tout être humain. Le poème est là pour nous le rappeler. Il cherche à réveiller en nous le désir le plus haut et le plus juste."  Fabrice Midal




William Blake voulait rendre l'homme à la vie, lui rendre le seul vrai regard, celui de la poésie.
"Si les fenêtres de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme pour ce qu'elle est _ infinie. "William Blake
La poésie, qui est en nous, nous offre l'immensité, dont nous sommes privés.
"Ne comprends-tu pas que le moindre oiseau qui fend l'air
Est un monde de délices fermé par tes cinq sens ?"William Blake
Il est question avec Blake d'être vivant et de libérer en nous "le plus haut désir qui nous habite, le désir d'éveil, de liberté, de tendresse et d'amour."(Fabrice Midal).
N'est-ce pas là une nécessité ?





dimanche 5 novembre 2017

Automne flamboyant



Couleurs d'automne sous un soleil d'été.
Légèreté nécessaire pour vivre sans contraintes.
Départ pour ailleurs, pays, livre, rencontre,
Tout est possible et tout peut être dit
Chaque jour.





L’automne 

"Quand la vie est une forêt
Chaque jour est un arbre
Quand la vie est un arbre
Chaque jour est une branche
Quand la vie est une branche
Chaque jour est une feuille"
Jacques Prévert




"De temps à autre, faites retraite dans les livres, ceux que vous aimez entre tous, ceux qui nous ouvrent grand les portes de l'évasion, ceux qui nous parlent aventure, voyage et paysage par exemple, du lever du soleil, de la pêche à la mouche, ce sujet métaphysique, du chant des merles au printemps, à la tombée du jour, tel le chant que sifflait Gerda pour son amoureux Wolf Solent dans le roman de Powys (un écrivain qui sut vieillir heureux). Fréquentons assidûment les morts aimés, pas si morts que ça après tout, plus vivants entre les pages, plus proches et amicaux et bénéfiques, que nombre de nos contemporains.  Ils ont peut-être quelques conseils de sagesse à nous donner, inspirés par leur exemple, non par des prêches, ils y répugnent. La vieillesse, qui, croit-on, est usure et anxiété et, bien souvent, lutte à contre-courant, lourde et lente, se fera plus légère, moins visible, le plaisir ayant pour effet de donner des ailes_certaine illumination venue de l'intérieur." Christine Jordis




"
la cause principale de ces vagues soudaines et inexplicables de bonheur qui nous emportent en d'étranges voyages vers les rivages retirés de la terre de nos désirs, c'est la vue de la branche d'arbre qui s'étire au loin et qui, si nous la contemplons, paraît flotter sur un océan d'air, un  océan mystique; océan tellement liquide, d'un air tellement transparent, qu'il va se fondre dans l'horizon, et que la branche qu'il porte semble attirer à elle, en l'arrachant à l'immensité, le secret même de la vie et de la mort." John Cowper Powys

dimanche 29 octobre 2017

Nouvelle soirée astronomie/astrologie

Si vous êtes venu(e) le 28 septembre pour notre soirée astronomie/astrologie, vous savez que nous aurons la suite des vidéos sur la sphère armillaire le 9 novembre prochain.
Donc, n'oubliez pas de réserver votre soirée (sur assoc.altair@gmail.com ).
Nous continuerons à découvrir comment l'astrologie que nous pratiquons est basée sur un découpage géométrique du ciel et nous en saurons plus sur le lien qui unit astrologie et astronomie.




Nous aurons à nouveau les compléments apportés par Sylvie Lafuente Sampietro qui pourra répondre à toutes nos questions.
Nous vous attendons donc pour cette nouvelle soirée tout aussi intéressante que la première.





« La sagesse est un savoir pratique et réfléchi appliqué au quotidien. Il existe une forme de savoir, constituée par la mémorisation de données éparses, qui de ce fait, brouille les traces sur le chemin de la sagesse. Toutefois, il existe un savoir qui, animé par une vive aspiration à la sagesse, conduit à la réalisation définitive de la plénitude et de l’intégrité de la personne individuelle. »
Dane Rudhyar

Si vous n'avez pu assister à ces soirées passionnantes, vous pouvez retrouver toutes les vidéos diffusées lors de ces soirées sur le site : Renaissante astrologie.

dimanche 22 octobre 2017

L'ermite



Quand Matthieu Ricard nous raconte ses années passées dans son ermitage de l'Himalaya, son expérience prend un goût d'aventure extrême comparée à notre vie en occident.
On peut se dire qu'une cabane avec une vue dégagée sur toute la chaîne de l'Himalaya apporte  quelque chose de grandiose et d'intemporel, il n'empêche que vivre des mois, voire des années retiré dans cet endroit peut paraître incroyable.
Matthieu Ricard se situe dans la lignée des ermites qui de tous temps, ont ainsi questionné leur existence et le sens de leur vie, que ce soit pour quelques mois, quelques années ou une grande partie de leur vie. Voici ce qu'il nous dit à propos des ermites :



"La vocation de l'ermite est souvent mal comprise. L'ermite ne se retire pas du monde parce qu'il se sent rejeté, parce qu'il n'a rien trouvé de mieux à faire que d'errer dans les montagnes ou parce qu'il est incapable de faire face à ses responsabilités. S'il prend cette décision qui peut paraître extrême, c'est qu'il s'est rendu compte qu'il ne peut pas contrôler son esprit et résoudre le problème du bonheur et de la souffrance au milieu des activités sans fin de la vie ordinaire, aussi futiles que distrayantes. Il ne fuit pas le monde, il prend ses distances par rapport à lui pour le mettre en perspective et mieux percevoir son fonctionnement. Il ne fuit pas non plus ses semblables, il a besoin de temps pour cultiver l'amour et la compassion authentiques que n'affecteront pas les les préoccupations ordinaires comme le plaisir et le déplaisir, le gain et la perte, la louange et le blâme. Comme le musicien qui fait ses gammes ou l'athlète qui entraîne son corps, il lui faut du temps, de la concentration et une pratique assidue pour maîtriser son esprit chaotique, pénétrer le sens de la vie, puis mettre sa sagesse au service des autres. Sa devise pourrait être : "Se transformer soi-même pour mieux transformer le monde."
Les situations agitées de la vie ordinaire, en effet, rendent très difficile le progrès dans la pratique, et pour développer sa force intérieure, il est préférable de se consacrer uniquement à à l’entraînement de l'esprit pendant le temps qui sera nécessaire. L'animal blessé se cache dans la forêt pour guérir de ses blessures avant de pouvoir gambader à nouveau comme il lui plait. Nos blessures à nous, ce sont celles de l'égoïsme, de la malveillance, de l'attachement, et des autres toxines mentales.
L'ermite ne "pourrit" pas dans sa cellule, comme certains l'ont écrit. Ceux qui ont fait l'expérience de ce dont ils parlent vous diront plutôt qu'il mûrit dans son ermitage. Pour celui qui demeure dans la fraîcheur de la pleine conscience du moment présent, le temps n'a pas la lourdeur des jours passés dans la distraction, mais la légèreté du vécu pleinement savouré. Si l'ermite perd le goût de certaines préoccupations ordinaires, ce n'est pas que son existence est devenue insipide, c'est qu'il reconnait, parmi toutes les activités humaines possibles, celles qui contribuent véritablement à son propre épanouissement et au bonheur des autres."



Et la parole d'un de ces ermites éclaire son propos :

"Si tu aspires à la solitude des montagnes,
D'accueillantes grottes s'ouvrent au flanc des falaises
Sous les sommets drapés de brume.
Demeurer seul dans ces ermitages
Est source, à court et à long terme, d'une indicible joie."
Kalden Gyatso (1607-1677)


dimanche 15 octobre 2017

Dialogue avec la nature


Tout parle nous dit Victor Hugo. tout parle et tout vit autour de nous. Tout est plein d'âmes.
Avec lui, c'est la nature entière qui s'exprime et dialogue avec Dieu. 
Et le spectre qui apparaît près du dolmen va lui révéler le secret de la nature : tout est relié car c'est Dieu qui donne sens à la nature.
Cette vision panthéiste de Victor Hugo parle aussi sous une autre forme de ce lien qui nous unit à toutes les créatures de ce monde, puisque nous faisons tous partie de la nature. 


Ce que dit la bouche d'ombre

L'homme en songeant descend au gouffre universel.
J'errais près du dolmen qui domine Rozel,
À l'endroit où le cap se prolonge en presqu'île.
Le spectre m'attendait ; l'être sombre et tranquille
Me prit par les cheveux dans sa main qui grandit,
M'emporta sur le haut du rocher, et me dit :

Sache que tout connaît sa loi, son but, sa route ;
Que, de l'astre au ciron, l'immensité écoute ;
Que tout a conscience en la création ;
Et l'oreille pourrait avoir sa vision,
Car les choses et l'être ont un grand dialogue.
Tout parle ; l'air qui passe et l'alcyon qui vogue,
Le brin d'herbe, la fleur, le germe, l'élément.
T'imaginais-tu donc l'univers autrement ?
Crois-tu que Dieu, par qui la forme sort du nombre,
Aurait fait à jamais sonner la forêt sombre,
L'orage, le torrent roulant de noirs limons,
Le rocher dans les flots, la bête dans les monts,
La mouche, le buisson, la ronce où croît la mûre,
Et qu'il n'aurait rien mis dans l'éternel murmure ?
Crois-tu que l'eau du fleuve et les arbres des bois,
S'ils n'avaient rien à dire, élèveraient la voix ?
Prends-tu le vent des mers pour un joueur de flûte ?
Crois-tu que l'océan, qui se gonfle et qui lutte,
Serait content d'ouvrir sa gueule jour et nuit
Pour souffler dans le vide une vapeur de bruit,
Et qu'il voudrait rugir, sous l'ouragan qui vole,
Si son rugissement n'était une parole ?
Crois-tu que le tombeau, d'herbe et de nuit vêtu,
Ne soit rien qu'un silence ? et te figures-tu
Que la création profonde, qui compose
Sa rumeur des frissons du lys et de la rose,
De la foudre, des flots, des souffles du ciel bleu,
Ne sait ce qu'elle dit quand elle parle à Dieu ?
Crois-tu qu'elle ne soit qu'une langue épaissie ?
Crois-tu que la nature énorme balbutie,
Et que Dieu se serait, dans son immensité,
Donné pour tout plaisir, pendant l'éternité,
D'entendre bégayer une sourde-muette ?
Non, l'abîme est un prêtre et l'ombre est un poète ;
Non, tout est une voix et tout est un parfum ;
Tout dit dans l'infini quelque chose à quelqu'un ;
Une pensée emplit le tumulte superbe.
Dieu n'a pas fait un bruit sans y mêler le Verbe.
Tout, comme toi, gémit ou chante comme moi ;
Tout parle. Et maintenant, homme, sais-tu pourquoi
Tout parle ? Écoute bien. C'est que vents, ondes, flammes
Arbres, roseaux, rochers, tout vit !

 Tout est plein d'âmes.

Victor Hugo ( Les contemplations)


Dessins de Victor Hugo
La nature, il faut la laisser intacte, nous dit Gérard M. Hopkins dans ce poème qui nous entraîne dans une nature vertigineuse, infiniment vivante.

Le ruisseau sombre, brun, selle de cheval,
Charroyant dans la pente ses roches rugissantes,
Et sa toison d'écume en ses creux et ses combes
Vers le tréfonds du lac dévale en sa maison.

La coiffe fauve d'une mousse vol-au-vent
tourne et se brise par-dessus la boue
D'un siphon d'encre noire caché tout au fond,
Elle broie le désespoir et le broyant le noie;

Saturés de rosées, au prisme des rosées,
Au secret des hauteurs que traverse son cours
Bruyères en maigres touffes, bouquets de fougères,
Colliers de frênes au surplomb du ruisseau.

Qu'adviendrait-il du monde, une fois dévêtu
De sa nature et de ses eaux ? Laisse-les nous,
Ô laisse-nous et la nature et l'eau;
Vivent l'herbe sauvage et la nature intacte.
Gérard M. Hopkins



dimanche 8 octobre 2017

Rencontre

A travers l'autre, on ne rencontre jamais que soi-même. Cette phrase, j'y ai beaucoup pensé car nous croyons souvent aller réellement à la rencontre de l'autre.

"Qui suis-je, si je ne suis pas toi ?
 Qui es-tu, si tu n'es pas moi ?"
 Emir Abd-el Kader




Mais est-il nécessaire de le connaitre, cet autre, pour le rencontrer vraiment ? En quoi consiste le véritable échange ?

«L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière. Cette phrase convient merveilleusement à François d'Assise. On sait de lui peu de choses et c'est tant mieux. Ce qu'on sait de quelqu'un empêche de le connaître. Ce qu'on en dit, en croyant savoir ce qu'on dit, rend difficile de le voir. On dit par exemple : Saint-François-d'Assise. On le dit en somnambule, sans sortir du sommeil de la langue. On ne dit pas, on laisse dire. On laisse les mots venir, ils viennent dans un ordre qui n'est pas le nôtre, qui est l'ordre du mensonge, de la mort, de la vie en société. Très peu de vraies paroles s'échangent chaque jour, vraiment très peu. Peut-être ne tombe-t-on amoureux que pour enfin commencer à parler. Peut-être n'ouvre-t-on un livre que pour enfin commencer à entendre. L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière
Christian Bobin.




Prendre le risque, malgré tout, pour ne pas manquer la joie qui en ressortira, quitte à tout perdre. Prendre le risque en étant conscient de ce que nous vivons :


"Je ferme les yeux.
Sur la paix de mon cœur,
Je n'ai plus à chercher mon chemin.
Bien sûr je te ferai mal.
Bien sûr nous aurons mal.
Mais ça, c'est la condition de l'existence.
Se faire printemps, c'est prendre le risque de l'hiver.
Se faire présent, c'est prendre le risque de l'absence...
Et moi, c'est à mon risque de peine que je connais ma joie."
Antoine de Saint-Exupéry



dimanche 1 octobre 2017

Représenter le ciel


La vie qui danse, pour moi, ces temps-ci, ce sont toutes sortes de petites choses qui tissent un joli canevas plein de couleurs. Mais les jolies couleurs ne sont rien sans quelques touches sombres pour leur donner tout leur éclat.


Voici par exemple un joli moment de partage jeudi soir, pour découvrir toutes les beautés et subtilités de la sphère armillaire, les bases de l'astrologie et la description géométrique du ciel. Des vidéos, passionnantes et un groupe tout entier tourné vers cette découverte : une façon beaucoup plus vivante de regarder plutôt que chacun devant son écran ce scientifique passionné par l'astronomie tout autant que par l'astrologie.
Son nom, nous ne le connaissons pas, il préfère le taire, nous savons juste qu'il est scientifique, ingénieur. Car dans beaucoup de milieux scientifiques, parler d'astrologie vous fait passer au mieux pour quelqu'un de très crédule et  au pire, pour un adepte d'une secte. Nous ne pouvons que le remercier d'avoir néanmoins créé sa série de vidéos extrêmement utiles pour aider les astrologues éloignés peu ou prou de l'astronomie à comprendre le lien qui existe depuis très longtemps entre les deux disciplines (faire comprendre le lien qui existe aux astronomes  est plus difficile comme vous l'aurez compris).




Depuis l'antiquité, et les plus anciennes traces nous viennent des babyloniens, l'homme s'est intéressé au ciel et à toutes les informations utiles pour donner un rythme aux activités humaines. Les hommes préhistoriques, dans les cavernes ou sur des pierres, nous ont aussi laissé quelques traces de l'intérêt qu'ils portaient au ciel et à la signification de ses mouvements. Il paraissait alors tout à fait normal d'observer le ciel et tout en le lisant, d'interpréter les synchronicités observées avec nos événements terrestres.

L'astrologie et l'astronomie ont eu des trajectoires communes pendant très longtemps et très souvent, l'astronome s'intéressait à l'astrologie.
Les grands savants de l'antiquité ont fait des traités sur l'astrologie comme Ptolémée, et par la suite, jusqu'à la renaissance, les recherches ont souvent été menées par les mêmes scientifiques. Beaucoup de tableaux, cadrans solaires, globes, cartes et objets en témoignent.
Mais en 1666, Colbert a créé en France l'académie des sciences et il a été décidé que l'astrologie ne faisait pas partie des sciences admises. elle est donc sortie du domaine scientifique pour n'y plus revenir.



Dans les vidéos que nous avons regardé, il est fait référence à la sphère armillaire, dont je vous ai déjà parlé, qui modélise le ciel vu de la terre en trois dimensions. C'était un objet scientifique utilisé tout au long de l'histoire jusqu'à ce que le système héliocentrique découvert par Copernic et Galilée devienne l'objet d'étude des astronomes. Mais c'est ce même point de vue du ciel vu de la terre qui va intéresser l'astrologue, d'où l'intérêt de redécouvrir cet objet.  Il est aussi question de l'astrolabe, une façon de représenter le ciel qui a servi longtemps aux navigateurs mais qui est aussi souvent le symbole de l'astrologue. Et nous découvrons comment la carte natale en deux dimensions utilisée en astrologie se construit à partir du ciel représenté en trois dimensions sur la sphère armillaire. Et le plus important, peut-être : ce qu'est le zodiaque tropical, base de l'astrologie que nous utilisons.





Nous n'avons visionné qu'une partie des vidéos, la seconde partie sera à partager le 9 novembre. Je me réjouis déjà de cette nouvelle soirée de rencontre pour réconcilier astronomie et astrologie !