dimanche 11 novembre 2012

La maladie cherche à me guérir



Le week-end dernier, consacré une nouvelle fois à notre formation professionnelle, avait pour thème la santé.
Sujet qui nous passionne et nous interroge tous, car le sens de nos maladies fait partie de nos interrogations récurrentes.
L'astrologie peut nous aider à décoder ce sens, à rechercher les déclencheurs et à mettre des mots sur les maux. Et parfois, en mettant les mots justes, les symptômes peuvent disparaître ou s'atténuer.
A ce sujet, le livre du Dr Dransart : La maladie cherche à me guérir, fait partie de nos références, en venant parfaitement compléter les données de l'astrologie humaniste. A travers la maladie , notre corps nous parle : nous pouvons chercher à comprendre ce qu'il a à nous dire.
Je reprends donc ici une petite partie de son introduction, tout en vous invitant à la lire ou relire entièrement.




"Tout comme le stress, cette maladie que nous combattons est une pièce de monnaie. D'un côté, elle est une ennemie, mais de l'autre, elle tente de nous guérir.
Lorsque nous prenons notre corps à témoin, que se passe-t-il ? Ce serait agréable de disposer ainsi d'un témoin qui conforte notre position, mais ce témoin se transforme vite en juge. La douleur nous renvoie à nous-mêmes, elle nous empêche de nous endormir sur nos certitudes, exactement comme le ferait un psychothérapeute.  A travers notre corps, c'est tout un travail sur nous-mêmes que nous réalisons. Notre corps devient un miroir, par lui nous gérons nos émotions d'une manière qui préserve notre conscience tout en l'aidant à s'en libérer. En réalité, la maladie cherche à nous guérir de l'émotion qui l'a engendrée.

Quand notre colère se dit à travers une douleur, cette douleur avec le temps épuise la colère, un peu comme un feu qui brûle le bois dont il s'alimente. De ce point de vue, la maladie tente de nous libérer, par le corps et la douleur, de l'émotion dont elle s'origine. Et cette idée rejoint celle de certains philosophes orientaux, qui proposent de ne pas combattre mentalement sa douleur mais de plonger dedans afin de s'en libérer plus rapidement...

Ce travail de libération se fait en quelque sorte à notre insu, en laissant à la conscience le temps de dénouer les noeuds qui la retiennent. Cela se fait par étapes, en silence, jusqu'au jour où notre maladie n'a plus de raison d'être. Ce jour-là, les conditions seront réunies pour nous permettre de rencontrer la solution.

La rencontre avec ce qui nous guérit se prépare à travers une série d'étapes silencieuses, par lesquelles la maladie tente de nous libérer de notre souffrance."




Comme le dit Philippe Dransart : "Tout notre corps nous parle, et c'est une très belle histoire..."

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