J'ai dit combien le texte de la conférence d'astrologie mondiale du 6 décembre me réjouissait.
"De l'ombre, faire jaillir la lumière " me parait particulièrement adapté à notre époque.
L'astrologie mondiale nous parle des grands cycles des planètes et donc des grands mouvements qui affectent l'humanité.
Et le grand cycle de transformation technologique qui a débuté en 1966 et qui nous conduit aujourd'hui à nous poser beaucoup de questions sur notre monde prendra fin en 2046. De temps en temps, j'évoque le monde de ma jeunesse et je mesure l'évolution technologique qui a transformé nos vies depuis 45 ans. Quel résultat pourrons-nous mesurer en 2046, dans 33 ans ? Comment travailler à rendre cette période riche et porteuse d'avenir ?
Ce qui me saute aux yeux, à chaque conférence, c'est la difficulté de répondre aux défis de ces grands cycles pour l'humanité et en même temps, la possibilité que nous avons d'y répondre individuellement.
Ne sommes-nous pas actuellement dans une période obscure où nous sentons le monde changer sans savoir où il va ?
Le défi actuel, en cette période de crise particulière où nous maîtrisons mal les changements en cours et leurs enjeux, c'est d'être lucides. Et de sentir quel forme va pouvoir prendre la société. Et d'être inventifs. Et de prendre les bonnes décisions.
Le monde politique semble asphyxié, anesthésié par la difficulté : on ne peut lui demander de réussir à la fois à être créatif, de tenir un cap, de respecter l'aspect humain, la terre, objectifs de long terme et de se faire réélire, objectif de court terme.
Ce qui est possible, c'est de ressentir ces enjeux chacun à notre place. Et de faire ce que nous pouvons. Tellement d'exemples existent déjà de recherche vers une nouvelle société, vers ce que pourraient être nos rapports humains dans les temps à venir, vers une utilisation respectueuse des moyens mis à notre disposition sur notre terre. Les tentatives sont multiples et passionnantes.
C'est cela, me semble-t-il, l'enjeu de cette année à venir et ce qui me réjouit : au milieu de toute cette ombre qui nous enveloppe, nous pouvons faire jaillir notre petite lumière propre pour montrer que nous sommes là, bien vivants et toujours pleins d'idées pour que le monde avance vers plus de clarté.
Et pour mieux comprendre notre monde et les défis de l'année à venir, je vous conseille de venir le 6 décembre à 20h30 à la Maison du Tourisme de Grenoble écouter la conférence de Sylvie Lafuente Sampietro.
"De l'ombre, faire jaillir la lumière " me parait particulièrement adapté à notre époque.
L'astrologie mondiale nous parle des grands cycles des planètes et donc des grands mouvements qui affectent l'humanité.
Et le grand cycle de transformation technologique qui a débuté en 1966 et qui nous conduit aujourd'hui à nous poser beaucoup de questions sur notre monde prendra fin en 2046. De temps en temps, j'évoque le monde de ma jeunesse et je mesure l'évolution technologique qui a transformé nos vies depuis 45 ans. Quel résultat pourrons-nous mesurer en 2046, dans 33 ans ? Comment travailler à rendre cette période riche et porteuse d'avenir ?
Ce qui me saute aux yeux, à chaque conférence, c'est la difficulté de répondre aux défis de ces grands cycles pour l'humanité et en même temps, la possibilité que nous avons d'y répondre individuellement.
Ne sommes-nous pas actuellement dans une période obscure où nous sentons le monde changer sans savoir où il va ?
Le défi actuel, en cette période de crise particulière où nous maîtrisons mal les changements en cours et leurs enjeux, c'est d'être lucides. Et de sentir quel forme va pouvoir prendre la société. Et d'être inventifs. Et de prendre les bonnes décisions.
Le monde politique semble asphyxié, anesthésié par la difficulté : on ne peut lui demander de réussir à la fois à être créatif, de tenir un cap, de respecter l'aspect humain, la terre, objectifs de long terme et de se faire réélire, objectif de court terme.
Ce qui est possible, c'est de ressentir ces enjeux chacun à notre place. Et de faire ce que nous pouvons. Tellement d'exemples existent déjà de recherche vers une nouvelle société, vers ce que pourraient être nos rapports humains dans les temps à venir, vers une utilisation respectueuse des moyens mis à notre disposition sur notre terre. Les tentatives sont multiples et passionnantes.
C'est cela, me semble-t-il, l'enjeu de cette année à venir et ce qui me réjouit : au milieu de toute cette ombre qui nous enveloppe, nous pouvons faire jaillir notre petite lumière propre pour montrer que nous sommes là, bien vivants et toujours pleins d'idées pour que le monde avance vers plus de clarté.
Et pour mieux comprendre notre monde et les défis de l'année à venir, je vous conseille de venir le 6 décembre à 20h30 à la Maison du Tourisme de Grenoble écouter la conférence de Sylvie Lafuente Sampietro.
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